Comment vaincre la procrastination chronique
Au début, je voulais mettre fin aux fluctuations stressantes dans mon entreprise (les hauts et les bas).
Quand tout allait bien, je pensais pouvoir me détendre.
Jusqu’à ce que tout se passe mal.
Après ça, je travaillais comme un fou pour ajuster la situation.
Dans cet article, je vais t’apprendre comment je freine ces vagues de performance tout en continuant à avoir une vie en dehors de mon travail.
Tout d’abord, essaye de ne pas être dérangé.
Dès que tu te met à écouter ce que les autres pensent de ton plan, il va s’effondrer. Étant donné qu’on accorde souvent de l’importance à l’opinion des gens qui nous entourent pour différentes raisons, on perd rapidement confiance en nous lorsqu’on soulève des défauts.
Si personne ne te dérange, tu réalises que tu es le seul à savoir si ton plan va fonctionner.
Il reste juste à faire des efforts et à visualiser l’objectif que tu essaies d’atteindre.
Ce qui m’amène à mon deuxième point : penses à une approche sur le long terme dans ton entreprise. Se fixer des objectifs plus ambitieux est le moyen le plus simple de penser à tes objectifs à long terme.
Penses-y, si tu te dis, « Je veux faire 2000$ ». Si tu atteins ton objectif le premier mois, que se passe-t-il ? Maintenant, tu vas penser qu’il suffit de 4 semaines pour atteindre cet objectif. Ce n’est pas si facile à chaque fois.
Ok, alors qu’est-ce qu’il faut faire ?
Fixer de plus grands objectifs, mais les diviser en plus petits morceaux atteignables, afin de maintenir le sentiment de victoire tout en gardant en tête le but à long terme.
Et là tu me demandes, comment je fais ça, moi ?
C’est simple, construit une structure de discipline impitoyable, mais qui te convient parfaitement.
À quoi ça ressemble ? Dans mon cas, il s’agit de regarder sur mon horaire, et déterminer chaque moment où je pourrais réduire mon planning afin d’en faire plus en moins de temps.
Chaque fois que je vois de gros morceaux de temps libre, ça signifie que je n’ai pas accompli ce que je devais faire dans ma journée. Je peux donc revenir sur les semaines précédentes et déterminer s’il s’agit d’une habitude et si je peux l’éliminer.
Je reviens alors à l’essentiel et j’essaie de comprendre pourquoi et comment je me suis écarté du chemin.
Tu veux connaître la vérité ? La plupart du temps, c’est simplement parce que mon téléphone n’est pas en mode avion. 99% de mes distractions viennent de là.
Ta concentration ne sera pas affectée si tu es injoignable. C’est assez simple.
Je pense que l’une des meilleures façons de se discipliner est d’accepter que ce n’est pas toujours le fun, faire des tâches. Ça fait mal.
Avant, j’étais le genre de personne qui n’aimait pas faire des choses difficiles.
J’avais l’impression de gaspiller ma précieuse énergie.
Le problème en réalité, c’est que je n’utilisais pas vraiment cette énergie de manière productive.
Quand je parle d’accepter la douleur, je veux dire qu’il faudrait apprécier le processus de croissance. C’est comme ressentir la douleur lorsqu’on s’entraîne et qu’on progresse vers l’objectif final.
Tu vas apprendre à aimer faire des choses difficiles en appréciant le processus de croissance.
Personnellement, j’ajoute une autre étape à cette stratégie d’endurance mentale : accepter l’inconfort.
Accepte les moments où tu n’as pas l’impression de maîtriser ce que tu fais.
Ça arrive quand tu apprends quelque chose de nouveau, ou que tu écoutes activement quelque chose dont tu ne savais rien auparavant, et ça te déstabilise. C’est normal !
Mais si tu te penches dessus, en étant mal à l’aise, tu vas réaliser que c’est le seul moyen de grandir et de réaliser tes rêves.
Soyons honnêtes, ça semble un peu fou de ton point de vue, right ?
Quel est l’intérêt de tant de structures dans ma vie ? Je me suis demandé la même chose lorsque j’ai été confronté à ces stratégies.
La vérité, c’est que je ne me suis jamais senti aussi bien.
Pourquoi?
C’est parce que je travaille quand je sais que je devrais travailler.
Quand je suis censé me détendre, je ne suis pas dérangé par tout ce que je n’ai pas pu faire au travail. Je profite de mon temps pour faire les choses que je veux faire pendant mon temps libre.
C’est ainsi, cher ami, que tu peux développer ta force mentale en tant que solopreneur.
En fin de compte, il faut aimer ce qu’on fait.
Bonne journée!
Un PERSONA pour les dominer tous
Pour identifier ton client de rêve, tu devras être très clair sur la nature de ton activité et sur le public auquel elle s’adresse.
Tu veux savoir quel type de clients tu devrais viser ?
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Tu pourrais apprendre une chose ou deux qui pourraient changer le cours de ta vie, que tu sois un tout nouvel entrepreneur ou un sensei chevronné.
Pour commencer, je me permet de clarifier quelque chose.
Comment faire la différence entre ton audience et ton client de rêve ?
L’une des principales différences entre les deux est leur état psychologique lorsqu’ils entrent en contact avec toi ou contactent ta marque.
L’état psychologique de ton audience est souvent ‘’froide’’ par défaut. C’est-à-dire que ton client n’est pas en mode »recherche de solution active » à un problème qu’il vit, mais plutôt à la recherche d’une communauté à rejoindre (tribu).
Ils sont à la recherche de pistes qui pourraient les aider à démêler un problème encore flou.
Tu vois à quel point l’état d’esprit par défaut de ton public est vague ?
C’est tout à fait normal.
Ton client de rêve et ton audience sont en fait fondamentalement différents.
Le client de rêve est à la recherche d’une solution spécifique : il est dans un état chaud. Il veut trouver la meilleure solution à son problème, là, maintenant.
Quand je dis problème, je fais référence à l’état dans lequel il se trouve et ce qu’il souhaite régler.
On appelle ça l’écart, le gap. Il s’agit essentiellement de ton opportunité de les aider au bon moment et au juste prix. (En général, on commence par faire la conversation, puis on présente son offre plus tard).
Si tu es un solopreneur qui gagne 10 000 $ par mois, tu peux te sentir bloqué dans ta progression et vouloir comprendre ce que tu devrais faire pour atteindre 100 000 $ par mois (10x le revenu initial). Ce genre de travail se fait souvent avec l’aide d’un mentor ou d’un coach, quelqu’un qui est passé par le même processus que toi, en gros.
Poses-toi la question: qu’est-ce qui m’empêche réellement d’atteindre ce niveau plus rapidement que je ne peux l’imaginer ?
Peter Thiel a dit : « Ainsi, si vous envisagez de faire quelque chose de votre vie et que vous avez un plan de 10 ans pour y arriver, vous devriez vous demander : pourquoi ne pouvez-vous pas le faire en six mois ? ».
À cette étape, essaye de te mettre à la place de ton client de rêve pendant qu’il cherche une solution.
Comment peux-tu l’aider à résoudre son problème ?
Ensuite, construit ta stratégie de contenu autour de cette réponse. C’est tout.
Tu comprends maintenant pourquoi il est impératif d’adresser toutes tes communications directement à ton client idéal ? Ce qui m’amène au sujet principal : le fameux persona.
Par ailleurs, pour renforcer ta réputation ou celle de ta marque, essaye de créer du contenu que ton client idéal pourrait trouver intéressant et utile. Parallèlement, tu dois te positionner au bon endroit : trouve où ils sont le plus susceptibles de chercher de l’aide (YouTube, Google, Reddit, etc.) et tire partie de ces informations.
Et n’oublie pas de toujours te demander dans quel état d’esprit se trouve le client de tes rêves !
Froid ou chaud ?
Ensuite, il suffit de construire ton persona autour de cet état d’esprit.
Un client de rêve, c’est le profil de ton client idéal, ses principaux problèmes, le genre de questions qu’il se pose, ses désirs profonds et les raisons pour lesquelles il n’a pas besoin de ton aide en ce moment !
Commence par définir les éléments suivants. J’appelle ça les caractéristiques psychographiques.:
- Nom
- Âge
- Sexe
- Localisation
- Langue(s)
- Situation familiale
- Revenus annuels
- Profession
- Passe-temps (en ligne et hors ligne)
Voilà pour les données démographiques. L’étape suivante consiste à déterminer leur état mental. Tu vas retrouver ci-dessous quelques questions pour t’aider à démarrer :
Quels seraient leurs principaux problèmes ? (Énumères-en trois à cinq)
Lorsque tu discutes avec eux, quelles sont les questions qui te sont le plus souvent posées ? (Écris cinq questions)
Pourquoi hésitent-ils à acheter chez toi / travailler avec toi ? (Donnes cinq raisons)
Quels sont leurs désirs profonds? (Nommes-en 5)
Et en ce qui concerne ton entreprise, quel est l’état psychologique de ton client de rêve ?
- Froid : non sensibilisé, mais un bon candidat
- Chaud : ne cherche pas spécialement, mais est ouvert à ce que tu as à offrir
- Chaud : en recherche active d’une solution
Maintenant, comment vas-tu communiquer avec ton client de rêve ?
Tu peux peut-être utiliser un vocabulaire spécifique, ou essayer d’utiliser des termes spécialisés, un ton humoristique, un ton familier, etc.
Tu peux même trouver une photo qui le représente afin de pouvoir le visualiser facilement lorsque tu crée ton contenu.
C’est le genre de détails que nous examinons dans mon programme d’accélération de la marque.
Maintenant, tu sais comment créer un persona et booster tes ventes !
À bientôt !
Simon
La stratégie de marque, comment rendre ça concret?
Penses-tu ne pas avoir besoin d’une marque pour faire croître ton entreprise?
À court terme, probablement.
À moyen-long terme, tu veux te distinguer de tes compétiteurs.
Laisse-moi te présenter le plus concrètement possible, ce qu’est une stratégie de marque.
Qu’est-ce que c’est, la stratégie de marque ?
Une stratégie de marque efficace est basée sur l’objectif principal de ta marque, ta mission d’entreprise.
Tu dois te demander :
- Dans quelle catégorie tu évolues, et quels sont tes services/produits?
- Sais-tu te différencier par la manière dont tu règle le problème auquel une personne pourrait être confrontée ?
- Qui est ton client idéal ?
- Le choix de l’emplacement est-il important pour la réussite de ton entreprise ?
- Pourquoi ton client idéal devrait- t’il travailler avec toi ? Que veut-il vraiment ? De quoi as-t’il besoin ?
- Quand devrais-tu commercialiser ton innovation ? Quelle tendance émergente suis-tu en ce moment ?
- Si tu as du mal à répondre à ces questions, engages un stratège de marque.
Une stratégie de marque est aussi un excellent moyen de tâter le terrain avant de se lancer sur le marché.
En théorie, tu ne devrais pas investir dans la conception de ta marque tant que tu n’as pas confirmé, en testant le marché, que tu combles un vide – un « espace blanc » – et que tu peux prendre la tête de ce marché.
Si tu es dans l’incertitude quant à la manière de développer et de différencier ton entreprise de ce que font les autres, il peut être judicieux de demander conseil à un stratège de marque en qui tu as confiance.
À mon avis, si un stratège de marque conseille les gens sur leur entreprise et la direction qu’ils devraient prendre, il doit au moins faire affaires dans le même secteur d’activité et avoir atteint un certain niveau de réussite.
Dans le monde des affaires, le succès peut être mesuré par la croissance des parts de marché, des ventes et des bénéfices au fil du temps.
Comme le dit Marty Neumeier et je cite : » Le but de la stratégie de marque est d’amener plus de gens à acheter plus de choses pendant plus d’années à un prix plus élevé. »
En gros, je crois qu’un grand stratège de marque peut avoir un impact significatif sur la trajectoire de ton entreprise.
– Simon
Regarde la vidéo YouTube ici: https://youtu.be/_93ZbqXcZNo
Comment Je Suis Devenu Stratège de Marque
Je n’ai pas choisi ma vocation, c’est elle qui m’a choisi.
En 2015, j’étais passionné par l’art, la musique et l’entreprenariat.
Je me suis inscrit à une école d’ingénierie audio à Montréal, car je voulais me bâtir un réseau de connaissances et j’espérais également me trouver un emploi dans le milieu de la musique.
Au fur et à mesure que le programme tirait à sa fin, les professeurs nous décourageaient sans cesse de poursuivre une carrière dans la production musicale.
Je suppose que plusieurs d’entre eux n’ont pas apprécié le fait qu’ils n’aient pas réussi leur carrière musicale et ont donc décidé d’enseigner à la place. Cela dit, il y avait une exception à la règle. En effet, un d’entre eux était en fait un producteur de musique que j’aime encore aujourd’hui : Eekkoo, qui fait partie du label Mau5strap de Deadmau5.
Ce qui est plutôt énorme.
Cela dit, une fois le cours terminé, j’ai abandonné le rêve de faire de la musique une carrière. En effet, la perspective de ne pas pouvoir gagner de l’argent rapidement ne m’attirait pas.
(Toutefois, je suis sûr qu’un jour je reviendrai à la musique, puisque c’est vraiment une de mes grandes passions.)
Et c’est là que le plaisir a réellement commencé : j’ai abandonné l’idée d’une carrière musicale et j’ai trouvé un emploi en tant que vendeur pour une société immobilière. C’était un changement drastique, je le sais bien! Je gagnais beaucoup trop d’argent pour mon âge et tout cela m’est vite monté à la tête. (J’ai gagné environ 80 000 dollars en six mois, ce qui n’est pas mal pour un producteur de musique qui a changé de direction, n’est-ce pas?)
Même si je gagnais beaucoup d’argent, j’étais malheureux. Je redoutais de prendre ma voiture le matin, d’aller au travail, de passer des appels de vente et de devoir vendre des produits qui ne m’intéressaient pas vraiment.
Ne vous méprenez pas, j’étais doué pour ce travail. J’aimais discuter avec les entrepreneurs afin de savoir comment je pouvais les aider, mais je n’aimais pas vendre ces produits en particulier.
Après six mois de travail, j’ai finalement donné ma démission. L’absence de motivation pour ce travail m’a rendu presque fou.
Et c’est à ce moment que ma vie a commencé à changer pour le mieux.
Je me suis senti en extase! J’ai vendu tout ce que je pouvais et j’ai déménagé en Australie, en ayant en tête d’y résider au moins un an.
En réalité, je n’avais pas vraiment de plan. Je voulais simplement visiter et faire du travail en vidéo en tant que pigiste.
Après avoir passé Noël seul dans une auberge de jeunesse en Tasmanie, sans argent, ni amis, ni famille, j’ai réalisé que je ne voulais pas « vivre » ailleurs. Tout ce que je voulais, c’était être entouré de mes amis et de ma famille, en plus de travailler sur des projets qui me rendraient vraiment heureux.
Cette expérience m’a énormément appris. Elle m’a fait comprendre que la véritable nature de ce voyage était de m’ouvrir les yeux sur ce que je veux vraiment dans la vie : créer une entreprise que j’aime et travailler sur des projets qui me plaisent, tout en étant entouré de personnes motivées et ambitieuses.
Il s’est avéré que cette aventure australienne était extrêmement coûteuse et que je n’avais plus d’argent après seulement quatre mois, avec toutes mes cartes de crédit au maximum de leur capacité!
10 000$ de dettes plus tard, j’ai dû revenir au Canada et m’installer dans le sous-sol de mon père. Le rêve australien était terminé, mais mon rêve de devenir un grand homme d’affaires ne faisait que commencer.
J’étais déterminé, puisque je savais que j’étais sur la bonne voie. Mais, à vrai dire, j’étais aussi très déprimé.
Je ne voulais pas retourner à un travail de bureau. Ça, c’était une certitude.
J’ai donc improvisé et j’ai commencé à reconduire des gens en tant que chauffeur Uber, tout en me posant bien des questions sur mon avenir.
Six mois plus tard, j’ai commencé à me lasser de conduire 12 heures par jour.
Puis, un soir, un homme d’affaires que je conduisais dans le centre-ville de Montréal m’a suggéré de m’inscrire à la chambre de commerce locale. Il m’a dit que cela m’aiderait à m’introduire dans le monde des affaires et que je devrais aller à un événement de réseautage.
J’ai trouvé l’idée géniale et j’ai donc décidé de me rendre à un de ces événements: il s’agissait du lancement de la chambre de commerce locale, à cinq minutes à peine de chez mon père.
J’ai enfilé un costume et mon jean préféré, puis j’ai sauté dans ma voiture. Mais cette fois, ce n’était pas pour conduire des gens en ville. Je me dirigeais en effet tout droit vers une nouvelle aventure professionnelle!
Lorsque je suis arrivé à l’événement, j’ai rapidement réalisé que je n’avais aucune idée de ce que je faisais là. J’étais, après tout, un chauffeur Uber de 22 ans qui voulait se lancer en affaires, sans avoir aucun plan concret! Avec le recul, je constate qu’au final, cela m’a bien servi.
Quand je pense à ce moment charnière de ma vie, je n’ai toujours aucune idée de ce qui m’a poussé à faire ce saut. Je suppose que, parfois, il suffit de suivre son intuition et de tenter sa chance.
Et puis, rien. J’ai simplement discuté avec des gens à l’événement sans avoir rien à présenter et, en y repensant, il me semble que c’était le bon état d’esprit à avoir, puisque j’ai pu écouter attentivement mes interlocuteurs.
Assez tôt dans la soirée, j’ai trouvé le gars le moins intimidant de la pièce. Il s’appelait Phil. Alors que tout le monde portait des costumes et des cravates typiques, ce mec avait une chemise de bûcheron et une simple casquette. Je me souviendrai toujours de l’avoir repéré. Il sortait vraiment du lot!
C’était mon homme, comme on dit.
Il s’est avéré qu’il possédait une salle de sport et qu’il engageait cinq entraîneurs personnels; son apparence lui importait peu.
J’ai discuté avec lui et nous avons immédiatement connecté. Il était passionné par le monde de l’entreprise, avait remporté un prix l’année précédente au sein de la chambre de commerce et était très motivé à l’idée de parler avec d’autres chefs d’entreprise.
Comme vous pouvez l’imaginer, j’étais très excité à l’idée d’avoir trouvé quelqu’un de cool avec qui parler. Très vite, nous avons découvert que nous partagions tous les deux une passion pour la création d’une marque.
Nous avons approfondi des sujets tels que les meilleures stratégies de marque à déployer en ligne à l’aide des médias sociaux, les stratégies de contenu pour attirer plus de clients de manière organique, l’esprit d’entreprise et la manière dont une marque puissante et bien exécutée travaille constamment pour soi, et ce, même durant son sommeil.
(Voyez-vous un fil conducteur ici?)
Au fur et à mesure que la soirée avançait et après quelques verres, Phil m’a invité à visiter sa salle de sport le lundi suivant. L’évènement s’est finalement terminé et nous nous sommes quittés.
Puis, le lundi est arrivé. J’ai pris ma voiture rouge et je suis allé rencontrer Phil à son gym. J’ai vite constaté qu’il y avait plusieurs entreprises d’entraînement personnel qui opéraient au même endroit. Je me souviens de m’être dit : « Ok, peut-être que je vais même trouver quelques opportunités de plus ici… »
Je n’avais aucune idée de la suite des évènements…
J’ai donc retrouvé Phil et nous avons commencé à discuter lorsqu’un de ses collègues nous a entendus de loin.
Il s’est approché et nous a arrêtés brièvement pour me demander si je voulais bien le rencontrer après ma réunion avec Phil.
Je lui ai répondu rapidement : « Bien sûr, avec plaisir! »
Je suis donc retourné à ma conversation et, au final, Phil et moi avons terminé notre entretien sans même conclure d’entente commerciale concrète.
Et c’était bien correct ainsi.
Il était intéressé par ce que j’avais à offrir, mais il ne savait pas vraiment ce qu’il voulait à ce moment-là… et de toute façon, je n’avais pas encore de service concret à offrir.
(Éventuellement, nous avons fini par collaborer ensemble, mais ce n’était que quelques mois plus tard).
Puis, une fois la conversation terminée, je suis monté à l’étage pour rencontrer son collègue, Jacob.
Tout de suite, nous avons commencé à discuter de ce dont il avait exactement besoin. Je lui ai également raconté mon histoire et ce qui me passionnait (le développement de l’image de marque, en particulier l’image de marque personnelle, les différentes stratégies, etc.).
À un moment donné, j’ai commencé à partager le fait que j’aimais l’idée d’aider les entrepreneurs à restructurer leurs stratégies de contenu sur les médias sociaux, afin d’utiliser la reconnaissance de leur marque pour se faire connaître dans leur niche. (Rappelez-vous, chers lecteurs, c’était en 2016, alors que les médias sociaux étaient en pleine explosion et que les pages Facebook avaient réellement une portée organique.)
Il est allé droit au but et m’a demandé combien je lui chargerais pour élaborer une stratégie de contenu solide afin de réaliser son rêve de devenir l’entreprise d’entraînement personnel la plus renommée au Québec.
Évidemment, cela m’intéressait au plus haut point. Mais, bien entendu, j’étais quelque peu pris au dépourvu, puisque je n’avais encore rien officiellement à vendre!
Nous avons discuté de ce qu’il avait en tête et je lui ai dit que je lui reviendrais avec une proposition pour une durée d’un an.
Lorsque je l’ai rencontré pour la deuxième fois, j’avais étudié ce qu’il faisait présentement et avais repéré de nombreuses opportunités. Il produisait beaucoup de contenu, sans toutefois avoir une quelconque stratégie sous-jacente. Il savait que son contenu était efficace, mais il ne savait pas ce qui fonctionnerait spécifiquement pour sa marque ni comment attirer la clientèle qu’il recherchait.
C’est ainsi que j’ai commencé mon nouveau métier! Je lui ai proposé de travailler dix heures par mois en tant que consultant pour l’aider à réaliser son rêve et à restructurer sa stratégie de contenu et de marque. C’est ainsi qu’est né mon « Programme de formation en image de marque », qui connaît un grand succès et qui représente aujourd’hui plus de 80% des activités de mon entreprise.
Nous avons commencé par évaluer qui était son client idéal et avons concentré TOUS nos efforts pour attirer ce même client de toutes les manières possibles vers son contenu sur les médias sociaux.
Nous avons élaboré une stratégie de contenu sur Facebook, puis sur Instagram et, enfin, nous avons créé un podcast qui l’a conduit à interviewer de GRANDS noms du domaine.
Il a commencé à créer des produits d’informations, puis à mettre en place plusieurs sources de revenus pour fournir des informations précieuses à son public. Puis, cinq ans plus tard, il possède maintenant sa propre salle de sport (ce qui est d’ailleurs énorme) et possède plus de dix entraîneurs sous sa marque afin de mettre en œuvre sa vision.
C’est là que le déclic s’est produit. J’avais trouvé un but concret dans mon métier.
J’ai été immédiatement séduit. À partir de ce moment-là, j’ai voulu apprendre tout et n’importe quoi sur la stratégie de marque et de contenu: de la psychologie derrière les raisons pour lesquelles les gens achètent une certaine marque, jusqu’à l’influence des couleurs sur une décision d’achat.
J’ai commencé à absorber tout ce que je pouvais trouver en matière de stratégie de marque et de contenu, sur YouTube aussi bien que dans les livres.
Cinq ans plus tard, me voici en train d’écrire ce blogue, en 2021, à partager mon histoire et à vous transmettre certaines de mes connaissances dûment acquises.
Je pense que le dicton est vrai :
« On ne se lance pas dans une carrière que l’on aime ; on aime tellement quelque chose que cela devient une carrière. »
Pour moi, c’est ÇA, être un stratège de marque.
On se voit bientôt,
Simon
Pourquoi bâtir une présence numérique puissante?
Ton client va te chercher sur Google avant de t’appeler ou t’écrire.
Et que va-t-il vouloir retrouver?
Tous tes beaux médias sociaux bien entretenus. 😉
ÇA C’EST L’IDÉAL.
La réalité c’est que la plupart de mes nouveaux clients n’ont jamais ‘‘mis à jour’’ leur présence numérique.
Donc, je t’ai fait une liste de ce que tu devrais mettre à jour :
- La pertinence & la clarté de tes textes sur ton site web.
- Ton adresse & tes heures d’ouverture sur ta fiche Google My Business & ton site web
- Nom d’utilisateur uniforme sur toutes tes plateformes sociales (ex: @seempaq partout)
- Photo de profil récente (on laisse faire le mugshot de 1985)
- Contenu cohérent avec les couleurs de ta marque
C’est ce que j’appelle une présence numérique puissante.
FIRST THINGS FIRST
Une marque puissante te permettra de distancer ton entreprise de ta compétition.
Les gens viendront vers toi pour la qualité de ton service ou de tes produits et non parce que tu es le moins dispendieux.
Elle (ta marque) te permettra de bâtir des fondations solides de profitabilité sur lesquelles tu pourras récolter le labeur de tes efforts pendant les décennies à venir.
Profitabilité & Branding, les deux font la paire.
Je te parle de ma théorie la semaine prochaine. ✌️
– Simon
Qu'est-ce qu'une Marque Personnelle?
La création d’une marque personnelle consiste à développer ta notoriété dans ton industrie par le partage d’informations spécifique à ton champ d’expertise.
Cette notoriété peut être atteinte par une utilisation efficace des médias sociaux, par la création de contenu approprié ainsi que par la distribution stratégique de celui-ci.
Aujourd’hui, la marque personnelle est d’une importance capitale.
Les consommateurs ont tendance à faire confiance à des individus plutôt qu’à des entreprises.
Et leurs habitudes de consommation ont changé à un tel point que ceux-ci vont faire confiance (jusqu’à 92% à une entité influente (souvent appelé Influenceur) plutôt qu’à une marque non endossée par un influenceur.
Croyez-vous maintenant au pouvoir de l’influence par la marque personnelle?
– Simon
Comment distinguer des publications à des publicités?
La ligne est rendue mince entre une publicité payée et publier du contenu pour le plaisir.
Il semble toujours y avoir une intention cachée derrière chaque publication.
Une bonne pratique: utilise le #ads, question de transparence, lorsque tu es payé pour publier du contenu.
Sinon, n’est-ce pas le rôle des publicités d’être explicites, du genre: ’’CLIQUE ICI POUR ACHETER’’? Perso, je pense que oui.
L’idée ici est de te conscientiser à partager ce que tu as envie, pas ce que tu pense qui va ‘’marcher sur Instagram’’. Je t’invite à repenser ta stratégie de contenu en fonction de ce que tu aimes vraiment.
Et ce, je pense, est la meilleure forme de publicité que tu peux offrir à une marque que tu aimes.
– Simon